QU’EST-CE QUE L’UNIVERS?
L’Univers, c’est la lumière et la matière qui existent en mouvement dans le vide sous l’action des forces. La lumière y devient matière et la matière y devient lumière. La matière subit l’action, le mouvement définit l’action et la force exerce l’action. La force, c’est la capacité de l’Univers à déplacer la matière.
QU’EST-CE QUE LA PHYSIQUE?
La physique, c’est cette science qui tente de conceptualiser en un modèle mathématique unique ce que nous observons de l’Univers : lumière, matière, mouvement, vide, action et forces. Or, par définition, le vide est vide. Vraiment?
L’UNIVERS ÉGALE UN
L’Univers égale un se veut une approche totalement graphique des lois de la physique qui tend vers la théorie finale; vers ce modèle mathématique unique.
NOTRE QUÊTE: Depuis que l’Homme est conscient de l’Univers, celui dans lequel il existe, il cherche à répondre aux cinq questions existentielles qui l’angoissent :
Où?
Associée à l’espace, elle interpelle la science.
Quand?
Associée au temps, elle interpelle la science.
Comment?
Associée au mouvement et aux forces, elle interpelle la science.
Pourquoi?
Associée à la raison d’être, elle interpelle la philosophie.
Qui?
Associée à un créateur, elle interpelle la religion.
POURQUOI L’UNIVERS DEVRAIT-IL ÉGALER UN?
Parce que, selon L’Univers égale un, les lois de la physique et du mouvement sont inscrites dans le cercle trigonométrique, lequel devient relativiste puisqu’on y trouve les formules d’Einstein : facteur α = √(1 – v2/c2), facteur γ = 1/α, transformations de Lorentz, addition des vitesses, E = mc2 et E = hν, notamment. Plus largement, espace, temps, vitesse, accélération, masse, force, travail, énergie, photon, impulsion, momentum, neutrino, action, courant, débit, fréquence, longueur d’ondes de de Broglie… y trouvent aussi lieux géométriques en axes, droites, courbes et surfaces. Tout est à l’échelle dans le graphique, ces lieux croissant à l’unisson : suffit de convenir d’un point se déplaçant sur une ligne ou d’une surface se déployant sous une autre, pour voir points et surfaces des autres lieux s’y déplacer, s’y déployer, en harmonie. CTR devient l’acronyme du cercle trigonométrique relativiste.
Parce que, selon L’Univers égale un, démonstration graphique à l’appui, gravitation et force électromagnétique sont le simple résultat de l’observation de la constance de la vitesse de la lumière. Pour que deux observateurs O et O’ voient fuir d’eux un photon P à la vitesse constante de la lumière, alors que O, O’ et P ne sont pas colinéaires, il faut que P se déplace sur l’une de deux hyperboles, dont O et O’ deviennent foyers, donnant l’apparence de charges contraires, forçant la courbure de l’espace.
Parce que, selon L’Univers égale un, démonstration mathématique à l’appui, les constantes fondamentales de l’Univers (c, h, G, 4πε0, me, e±…) sont reliées entre elles en une première formule qui égale 1 kg2/C2, et en une seconde qui égale 1 A, leur rapport en donnant une troisième égalant 1 kg2/C2/A, le facteur les rendant unitaires étant le nombre ee, bien connu des mathématiciens. Du coup, ces formules s’inscrivent à l’échelle dans le cercle trigonométrique relativiste, le dimensionnant à la perfection. La première formule permet aussi de déterminer exactement la valeur G (constante de gravitation) en fonction des autres constantes, déjà mesurées plus précisément, afin que la formule égale 1.0000000000..., justement. Quant à elle, la seconde formule permet de convenir du diamètre exact de l’électron.
Parce que, selon L’Univers égale un, l’horizon temporel de l’Univers devient ee milliards d’années, valeur limite, mathématique, pas du tout liée à une quelconque expansion. Idem pour son horizon spatial, valant désormais ee milliards d’années-lumière. L’Univers a trouvé lieu géométrique dans le CTR. De cet axiome initial nait une quatrième formule unitaire liant âge de l’Univers et constante de Planck à 1 Js3, le facteur ee y émergeant à nouveau; reliant surtout l’infiniment grand à l’infiniment petit. Alors, fixer l’horizon de l’Univers à ee milliards d’années, d’années-lumière, est-il au final encore un axiome ou plutôt une loi de la nature, définitivement mathématique?
Parce que, selon L’Univers égale un, la structure de la matière prend forme sous l’ossature d’un tétraèdre, dit quantique, remplis de quias. En effet, de l’analyse de la désintégration des baryons, des mésons et des leptons, force est d’y voir en fin de processus, outre photons et neutrinos, l’omniprésence uniquement d’électrons et de positrons, alors surnommés quias. À l’inverse, il devient alors logique de générer la matière en points (quias), lignes (autres leptons), surfaces (mésons) et volumes (baryons), uniquement en utilisant des quias, menant à l’abandon des quarks. Le quia, c’est aussi le rapport e±/me. TQ devient l’acronyme de tétraèdre quantique.
Parce que, selon L’Univers égale un, les notions de quia et de tétraèdre quantique permettent de fabriquer protons et neutrons, expliquant ensuite la structure et la stabilité ou non des noyaux atomiques, jusqu’à y voir l’organisation des étoiles à neutrons, entrevoyant du coup la structure du vide, ayant revisité au préalable les notions de Big Bang et de Big Crunch. Au final, distribuer des quias en devenir en un réseau cartésien, tridimensionnel, symétrique et infini, remplissant le vide, permet à la lumière d’y circuler et de s’y matérialiser, puis à la matière ainsi crée d’y circuler et d’y redevenir lumière.
L’Univers égale un recèle bien d’autres réflexions d’importance qu’il vous faut lire.